1962
Jean Rodhain constate que la solidarité envers les victimes des 2 camps de la guerre d'Algérie est très faible par rapport à celle constatée lors de la catastrophe de Fréjus.
Les Etats ne font en 1962 pas assez pour lutter contre la faim dans le monde. Il faut donc former les jeunes générations pour qu'elles soient plus solidaires afin que les dirigeants de l'an 2000 cherchent réellement à trouver une solution.
Jean RODHAIN, « Le carnet de Sidoine », Messages du Secours Catholique, n° 117, mars 1962, p. 2.
Les enfants sont souvent ceux qui font prendre conscience aux adultes de la facilité avec laquelle ils se dédouannent face aux problèmes.
Le travail du Secours Catholique sur les différents "fronts" de la guerre d'Algérie.
Jean RODHAIN, « C'est une lumière », Messages du Secours Catholique, n° 118, avril 1962, p. 1.[1]
Jean RODHAIN, « Pâques, cette lueur », Messages du Secours Catholique, n° 118, avril 1962, p. 3.
Le siège national du Secours Catholique doit déménager pour être plus efficace. Appel aux dons pour aider à l'aménagement du 106.
Le Secours Catholique doit certes aider les réfugiés qui fuient l'Algérie, mais il n'a pas à se substituer aux pouvoirs publics, auxquels il revient, par obligation, de les accompagner dans leur retour ou leur arrivée en France.