1951
Pour la Journée Nationale de 1951, Jean Rodhain insiste auprès des prêtres pour qu'ils expliquent la charité à leurs paroissiens et leur demande de les remercier pour leur générosité.
Le Pape donne le premier l'exemple de la charité, en en parlant, mais aussi en prenant le temps de "savoir" la misère. Dans un monde où les pauvres s'appauvrissent, les hommes doivent apprendre à voir la détresse des autres.
Un des rôles majeurs du Secours Catholique est de permettre aux différentes oeuvres charitables de se rencontrer et parfois de mettre leurs moyens en commun pour lutter contre la pauvreté.
Les progrès techniques empêchent la créativité et surtout menacent la paix. On peut bien prévoir les catastrophes, mais on ne sait pas aider les hommes qui en sont victimes.
Les catholiques n'ont pas l'apanage de la charité. Au contraire, pour être plus efficace encore, le Secours Catholique se doit de travailler en commun avec les autres confessions.
Jean Rodhain s’insurge contre tous ceux qui pensent que 3 progrès techniques suffisent pour régler toutes les difficultés des hommes et oublient ce qu’est la charité.
Hommage à un des fondateurs du Secours Catholique, le commandant Marc Marchal.
Hommage aux donateurs du Secours Catholique qui donnent, sans obligation aucune, pour aider les plus démunis.
Les constructions de pierre des hommes sont presques toutes vouées à disparaître ou au minimum à se détériorer. Au contraire, les oeuvres qui s'enracinent dans l'homme, telles l'organisation internationale catholique de la charité, sont durables.
Pages
- 1
- 2