1945
Evocation d’un temps de prière réunissant des familles de personnes tuées pendant la guerre et d’absents, autour de la figure de Ste thérèse de Lisieux.
Pâques 1945 : Jean Rodhain va à la rencontre des prisonniers et déportés qui rentrent, avec leurs moyens, souvent très précaires, vers la France et leurs familles. Compte-rendu de voyage.
L’aumônerie des prisonniers de guerre soutient les prisonniers qui attendent des nouvelles des leurs en leur envoyant des messages de France.
Hommage à tous les martyrs, prêtres, laïcs hommes et femmes qui se sont sacrifiés dans les camps allemands pour apporter une aide spirituelle aux détenus.
La prière a été l’arme des premiers chrétiens captifs. Elle l’est restée durant la guerre dans les camps de prisonniers et de déportés. Et les rapatriés continuent, en famille.
Jean Rodhain explique le rôle de l’aumônerie des déportés, les sacrifices de ceux qui l’ont servie en Allemagne et appelle les français à les aider.
Ceux qui ont pris des risques pour sauver leurs frères pendant les années de guerre sont nombreux. Mais il reste encore beaucoup de monde à secourir.
Jean Rodhain relit la cérémonie du Trocadéro en mettant en valeur le signe de la Croix.
Les missions pontificales travaillent au rapatriement des déportés vers leurs pays d’origine. Les américains sont très actifs via le "National Catholic Welfare Conference", dont les bureaux ont été frappés par un bombardier, tuant 11 secrétaires.
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