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Le père Xavier Ngandoul, membre de la chaire Jean Rodhain de Toulouse, a soutenu le 2 septembre sa thèse de doctorat sur le thème " Mystique de l’engagement au service du bien commun", le personnalisme d’Emmanuel Mounier comme chemin de transcendance et ferment d’humanisation à la lumière de l’enseignement social de l’Eglise. Le jury, sous la présidence de S. Comte et T. Marie Pouliquen, et composé de deux spécialistes d’Emmanuel Mounier, Jean-François Petit et Daniel Vigne, lui a décerné la mention Summa cum laude.
Dans son discours aux membres de la délégation française venue le rencontre jeudi 3 septembre 2020, le pape souligne combien les convictions de foi offrent aux chrétiens de grandes motivations pour la protection de la nature et affirme que la science et la foi, qui proposent des approches différentes de la réalité, peuvent développer un dialogue intense et fécond.
Chaque année, le premier jour du mois de septembre est, pour la famille chrétienne, une Journée Mondiale de Prière pour la Sauvegarde de la Création, avec laquelle commence le Temps de la Création, qui se conclut le 4 octobre dans le souvenir de saint François d’Assise. Durant cette période, les chrétiens, dans le monde entier, renouvellent la foi en Dieu créateur et s’unissent de façon spéciale dans la prière et dans l’action pour la sauvegarde de la maison commune.
Partout en France, des sanctuaires, petits ou grands, très fréquentés ou quelque peu délaissés, «captent les souffrances des périphéries existentielles pour y tracer un chemin d’espérance et de vie». Au fil des interventions, ce document souligne la spiritualité des lieux et celle des pèlerins qui s’y rendent massivement aujourd’hui, mais il tente également de retracer l’histoire des lieux saints – en révélant les notions propres aux espaces sacrés – puis élargit la focale à l’expérience particulière, vécue par celui qui se met en route…
Lire la préface de Mgr Pascal Delannoy, évêque de Saint-Denis et Président du Conseil national pour la solidarité de la Conférence des évêques de France, et commander le numéro.
On entend souvent les adultes engagés dans le milieu associatif en appeler désespérément à une relève jeune, qui ne vient pas toujours... Mais en se cherchant des "héritiers", ils oublient l'essentiel : partir des jeunes eux-mêmes, de ce qu'ils vivent, de ce dont ils rêvent et des manières dont ils entendent s'engager à leur tour... En 2019, la Fondation Jean Rodhain a entrepris de lancer une vaste enquête auprès de plus d'un millier de jeunes, issus de mouvements divers. De leur parole naît une certitude : l'envie de s'engager et de jouer sa partition dans la société et en Eglise est toujours présente. Et cette nouvelle jeunesse est inventive. La démarche de ce numéro des Cahiers de l'Atelier, dans la dynamique du dernier colloque de la Fondation Jean Rodhain dont il constitue les actes, consiste à les écouter et à s'inspirer de leurs pratiques plutôt que de leur asséner des leçons et de tenter de leur imposer des schémas anciens et sans doute dépassés.