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En ouverture de l'année 2022-23, Laure Blanchon, titulaire de la chaire Jean Rodhain du Centre Sèvres a le plaisir de vous inviter à la soirée annuelle de la chaire, jeudi 20 octobre à 19h30, sur le thème "Retrouver du pouvoir de vivre ensemble à l’école des plus pauvres".
La soirée sera inspirée de la figure du Père Joseph Wresinski et portée avec le Centre de mémoire et de recherche Joseph Wresinski.
Ce temps d'échange sera également l'occasion de présenter les rendez-vous à venir de la chaire
La chaire Rodhain du Centre Sèvres vise à proposer des enseignements et à encourager des travaux de recherche sur le thème de la charité, et plus largement, sur la priorité aux plus pauvres, la solidarité, la justice et la doctrine sociale de l’Église.
L’axe majeur de la chaire est de soutenir et encourager une pratique théologique à l’école des plus pauvres en se mettant à leur écoute et en travaillant à partir de leur parole. Chaque année, des cours, des séminaires et une soirée-conférence sont organisés sur le thème de la charité et de l’engagement avec des très pauvres, pour en souligner les enjeux théologiques, pratiques et spirituels.
Marie-Hélène Robert succède au P. Arnaud Alibert à la chaire Jean Rodhain de l'Université catholique de Lyon. A l'occasion de sa prise de fonction, elle revient sur les nouvelles priorités de la chaire.
Depuis une année, la chaire toulousaine mène une recherche action en partenariat avec la direction de l’enseignement catholique de Gironde. L’objectif est d’analyser, à travers plusieurs terrains des projets innovants susceptibles d’inspirer de nouvelles pratiques pédagogiques et de nouvelles formes de gouvernance à destination des différents niveaux de l'enseignement catholique. Cette recherche qui se déroulera sur 4 ans suivra des terrains d’observation différents au fil des années. En 2022, 5 lieux ont été choisis dans le grand Sud Ouest.
Le séminaire « penser la vieillesse, panser la dépendance avec les innovations sociales » vient de se terminer. Il est le fruit toujours en murissement nous a rappelé Nathalie Geneste d’une interpellation née dans la foulée de la pandémie et de l’attention soudainement portée aux personnes âgées en EPHADS et au domicile : à entendre la somme de souffrance et de désespoir, sommes-nous si désemparés, si inefficaces dans ce que nous faisons, dans ce que nous imaginons ?